Mes premières impressions de l’iPad

6 avril 2010 à 09:01

ipad vertical

Une fin de semaine bien remplie. J’ai finalement essayé le fameux Baconator de chez Wendy’s (déception), j’ai cuisiné un superbe jambon (moutarde, marmelade et gingembre) et j’ai regardé le premier épisode du tout nouveau Doctor Who incarné par le jeune comédien britannique Matt Smith (j’ai adoré, comme d’habitude, et la «compagne» Amy Pond a beaucoup de gueule). Ah oui, et j’ai essayé l’iPad!

Un gros merci d’ailleurs à Albert Dang-Vu de Mirego, qui m’a permis de jouer un peu avec sa tablette pendant que je l’interviewais pour un article à paraître sous peu sur BRANCHEZ-VOUS!. Nous aurons l’occasion d’y revenir, mais voici quand même mes premières impressions, en cinq mots clés, sur la tablette « magique » d’Apple.

Transitions. La qualité des transitions est la première chose qui m’a frappé. Qu’on passe d’un écran à un autre, qu’on ouvre un logiciel, qu’on clique sur un lien, les transitions entre deux écrans sont toujours superbes, tout en restant subtiles. Un exemple de transition? Lorsqu’on tourne une page dans un livre électronique, le papier suit notre doigt et on peut même voir la page précédente inversée au travers du papier. Superbe.

ipad transitions

Reflets.
L’écran de l’iPad reflète la lumière. Trop. Oubliez-ça la lecture à l’extérieur comme c’est possible de la faire avec le Kindle d’Amazon, qui offre un écran mat qui permet la lecture au gros soleil pendant des heures. Notons que la photo suivante a été prise sans chercher délibérément un reflet, pendant que j’étais à l’intérieur. Mais si j’avais voulu, j’aurais pu couvrir l’iPad d’un gros éclat blanc.

IPAD REFLET

BD. On s’en doutait déjà, mais l’iPad est vraiment superbe pour les comics books. Pas pour les romans graphiques par contre, l’ «objet» est encore trop important dans ces cas-là. Mais pour les «comics», des petits fascicules cheaps de toute façon, l’iPad offre une expérience de lecture aussi intéressante, sans inonder notre bibliothèque de ces mini-revues qu’on ne sait pas vraiment quoi faire avec.

Clavier. Écrit vraiment bien lorsque l’iPad est à plat. Meilleur que l’iPhone, mais pas aussi bon qu’un véritable clavier (on est pas mal limités à deux ou quatre doigts). Il faudra toutefois l’essayer un peu plus pour vraiment se prononcer. Notons que lorsque l’on tient l’iPad dans nos mains, l’écriture est plus difficile et qu’elle devrait se limiter à des mots clés pour Google et des choses du genre.

ipad clavier

Design.
Une des principales forces de l’iPad est sans contredit la qualité de son design. L’objet est joli, il est solide, il se tient bien dans les mains, etc.. L’iPad peut servir de cadre numérique, et honnêtement, je crois que j’utiliserais cette fonction si j’en possédais un tellement c’est un objet qui a de la gueule (même si je n’aime pas vraiment les cadres numériques).

On y reviendra sous peu, lorsque j’aurai eu l’occasion d’essayer l’appareil de fond en comble.

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